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Carbone voiture – Les idées reçues concernant les véhicules électriques

Carbone voiture —Le premier épisode porte sur l’impact carbone, plus d’autres sujets à couvrir.

Malgré son ascension rapide sur l’industrie automobile, un véhicule électrique reste encore pour le grand public une source de suspicion du fait qu’il soulève beaucoup de questions avec des avis contradictoires.

Carbone 4 a pour objectif de faire la lumière sur cette controverse afin de discerner le vrai du faux en répondant à ces questions par une méthode analytique et quantitative. La première partie des questions et réponses se concentre spécifiquement sur les idées reçues concernant l’empreinte carbone voiture.

bilan carbone voiture électrique —Les émissions de CO2 à la fabrication de la batterie sont-elles prises en compte dans les comparaisons basées sur le carbone voiture ?

L’empreinte carbone d’un produit est déterminée en calculant les émissions substantielles de gaz à effet de serre sur toute la durée de vie de l’article, de l’extraction des matières premières jusqu’à la fin de vie. Pour déterminer une estimation de l’empreinte carbone du véhicule, il ne s’agit pas seulement des émissions de dioxyde de carbone (GES) qui sont générées pendant l’utilisation du véhicule ainsi que des émissions de GES rejetées en aval (fabrication de la batterie, production d’électricité pour alimenter la voiture ainsi que d’autres processus.) ainsi que plus tard en aval (traitement de la voiture au terme de sa durée de vie ainsi que le recyclage des batteries, etc.)

Empreinte carbone voiture : Kilomètre charnière : au bout de combien de kilomètres pensez-vous que la voiture électrique reste supérieure à la voiture thermique en France ? Quelle est la raison de cette question si fréquemment posée ?

La voiture électrique produit plus d’émissions de gaz à effet de serre (CO2) par rapport à son équivalent thermique, on le sait, principalement à cause de la production des batteries. Cela pourrait rester une préoccupation pour l’environnement si ce CO2 supplémentaire n’était pas plus que substantiellement compensé par l’émission réduite par l’utilisation.

C’est pourtant le cas puisque tout au long de sa vie en France, le véhicule électrique émet 3 à 4 fois plus de CO2 que son homologue thermique. La question est mal formulée et sert plus qu’autre chose par sa sémantique à décrédibiliser le véhicule électrique.

Nos recherches montrent qu’il faut parcourir de 30 à 40 000 kilomètres (soit deux à trois ans d’utilisation moyenne) pour que le véhicule électrique soit plus adapté à notre climat que son homologue thermique « hybride léger ». En réalité, le coût kilométrique inférieur des véhicules électriques est une excellente raison d’utiliser ces véhicules.

Ce qui signifie que le deuxième véhicule pourrait finir par reste le premier en termes d’utilisation. Empreinte carbone d’un véhicule moyen vendu en 2020 en fonction de son kilométrage CO2/km Source : Carbone 4

Et dans d’autres endroits ? La voiture électrique a-t-elle des performances supérieures à celles du véhicule thermique partout dans le monde ?

Les avantages pour l’environnement dont bénéficient les propriétaires de véhicules électriques par rapport aux véhicules thermiques traditionnels proviennent de leur consommation d’énergie nettement inférieure sur toute la durée de vie (et ce, malgré la production plus émettrice des voitures électriques).

Plus la production d’électricité à base de carbone est faible, plus l’écart reste important. Même lorsqu’elles sont rechargées à partir d’un mélange d’électricité à base de charbon comme en Australie, en Chine ou en Pologne, les émissions des voitures électriques demeurent inférieures à celles des véhicules à combustion tout au long de leur durée de vie.

Par conséquent, les véhicules électriques restent plus bénéfiques pour l’environnement que les véhicules à combustion dans la majorité des pays du monde. Cela reste d’autant plus vrai que la plupart des pays tentent de réduire leur empreinte carbone voiture dans les années à venir, c’est-à-dire vers la fin de vie de leur automobile.

Ce n’est que dans une vingtaine de pays que la voiture électrique demeure moins morale que le véhicule thermique (en supposant que le mix de l’électrique ne soit pas modifié). Cela inclut l’Inde ainsi que certains pays d’Afrique ou du Moyen-Orient, et des nations insulaires comme Cuba, Haïti ou l’Indonésie.

Empreinte carbone voiture qui est vendue en 2020, en fonction du pays d’origine et de la décarbonisation du mix électrique le segment D – 200 000 kilomètres Carbone 4.

Revenons en France Si nous revenons en France, un véhicule électrique est-il meilleur pour l’environnement quelle que soit sa taille ?

Pas nécessairement, mais parce que tous ceux qui prétendent qu’un véhicule électrique lourd a besoin qu’il a plus de matériel et une plus grande batterie est nécessaire pour remplir ses besoins en énergie.

Donc plus d’émissions résultant de la production et de l’utilisation de ce véhicule (qui restent la plus grande partie impact des émissions de carbone voiture contrairement au modèle thermique). De même que dans l’utilisation au cours de son augmentation de la masse.

Ainsi, la reproduction du modèle thermique du SUV pour les véhicules électriques illustre parfaitement la  » fausse bonne idée ». L’empreinte carbone de l’Audi e-tron qui est 2 fois plus importante que celle de la Volkswagen e-Up tout au long de sa durée de vie (150 000 kilomètres).

Il demeure important de penser à des véhicules qui consomment moins d’énergie, quel que soit le type de source d’énergie, et pour y parvenir, il faut réduire leur poids. La tendance actuelle reste aux véhicules plus massifs et plus lourds qui consomment plus… Empreinte carbone voiture électrique de la France est établie sur le modèle. CO2 /km. Source : Carbone 4

L’hybride rechargeable constitue-t-il une alternative idéale au véhicule électrique ainsi qu’au véhicule thermique ?

Le véhicule hybride rechargeable actuel est la solution la plus idéale pour relever le défi du changement climatique :

  • C’est une méthode efficace pour les constructeurs de remplir leurs obligations légales (en Europe), par le biais d’un processus de certification des émissions qui constitue un avantage significatif pour les véhicules hybrides rechargeables en matière d’émissions.
  • c’est un facteur de sécurité pour les conducteurs déjà inquiets des préoccupations environnementales cependant, ils ne sont pas encore tout à fait prêts à passer au 100% électrique.

Mais la technologie souffre de certains défauts, qui la rendent difficilement intégrable à l’objectif de décarbonisation complète de la mobilité des particuliers d’ici 20 ans :

  • Le mode électrique a été très peu utilisé (moins de 40 % des kilomètres) en raison de la présence dans le moteur thermique.
  • Son moteur à combustion n’est généralement pas aussi efficace que les véhicules à essence et diesel comparables de l’art.
  • … et ce d’autant plus que le fait d’avoir deux moteurs associés à la batterie augmente substantiellement le poids d’un véhicule, et donc sa consommation (thermique ou électrique).

Ainsi, la voiture hybride rechargeable permet en principe une augmentation des émissions de carbone voiture de 15 à 20 % (contre 60 à 70 % pour un véhicule 100 % électrique) ; cependant, cela n’est pas suffisant par rapport aux enjeux climatiques et ne s’applique que dans des cas très précis.

En général, la voiture hybride rechargeable est le cas le plus typique d’une irresponsabilité économique en matière d’automobile. Le choix des automobilistes est fréquemment influencé vers le scénario le moins contraignant au lieu du scénario d’utilisation le plus populaire

Ex. : l’achat d’un énorme et puissant véhicule à cinq places qui permet de faire 4 voyages de plus de 500 km, et 90 % du temps d’utilisation est consacré à des trajets de seulement moins de quelques dizaines de kilomètres avec un couple de passagers au maximum).

Le véhicule hybride rechargeable demeure totalement à ce type d’irrationalité qui est construit sur l’idée de mélanger le « meilleur des deux technologies » (électrique et thermique) pour répondre à toutes les situations d’usage.

Or, dans la réalité, le scénario demeure très rare pour être non durable économiquement (le véhicule reste plus coûteux et plus difficile à entretenir) et environnementalement. L’empreinte carbone voiture qui est vendue en 2020 en France Segment D – 200 000 km | CO2/km.

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